Nous avons parcouru les environs de Dougoum.
Dès que la forêt devient un peu plus dense,
on remarque les cicatrices laissées par les hommes :
arbres abattus, trous de carbonisation,
et tas de charbon.
Les habitants savent que c’est interdit
pour préserver leur forêt et, par là, leur propre avenir,
mais ils minimisent le nombre de ces abattages.
Quelques irresponsables continuent des trafics illégaux.
La solution passe par l’éducation,
la prise de conscience,
la surveillance de la forêt
et surtout le remplacement du charbon de bois
par une énergie propre,
gratuite et renouvelable: le solaire.