Les habitants de Dougoum mangent peu et boivent peu, toujours au détriment de leur santé.
Mais ils savent recevoir et accueillir leurs invités !
Sur place, les cuisinières peuvent proposer
le lait de vache ou de chèvre, la viande du cabri, quelques légumes, des dattes et des mangues.
Ils achètent du riz, des pâtes, des lentilles, des pommes de terre…
A leurs visiteurs, ils offrent habituellement
le thé, des galettes, des beignets ou des crêpes,
des légumes accompagnées de sauces douces ou pimentées. Ils sont capables aussi de proposer des entremets glacés.
Mais cette apparente abondance
ne doit pas cacher la réalité :
une alimentation frugale et monotone ne les protège pas beaucoup contre les maladies.
L’absence de vitamines et par contre l’excès de glucides les conduisent souvent vers des problèmes
qu’ils n’ont pas les moyens de résoudre.