TOUS CES PROJETS ONT ÉTÉ POSSIBLES GRÂCE À L’ÉNERGIE DE DAOUD, DES FEMMES DE DOUGOUM ET DES DONATEURS !
LE PROJET « BARRAGE »
DÉCEMBRE 2019
Nous construisons, avec une vingtaine d’ouvriers dirigés pas Houmed Seik, un barrage sur le petit oued qui longe le puits Bouya. Le but est de ralentir la course des eaux vers la mer, de créer une réserve qui permette de s’infiltrer dans le sol et d’alimenter la nappe phréatique qui se trouve à quelques mètres sous terre.
LE PROJET « PROFESSIONNALISATION »
AVRIL 2018
Camille Panier à entamé une initiation à la « professionnalisation ». Il s’agit de repérer les compétences individuelles, d’enseigner quelques méthodes commerciales et de projeter les habitants vers une « économie de marché » au sein du village.
LE PROJET « TOILETTES SÈCHES »
AVRIL 2018
Parce que les déchets humains abandonnés dans la nature propagent les microbes apportés par les mouches et les moustiques, nous finançons l’installation de toilettes sèches. Camille Panier va sur le terrain en faire la pédagogie. Les habitants de Dougoum pourront ainsi éliminer les cendres de leurs cuisines et créer du compost.
LE PROJET « CHERCHEUR D’EAU »
JANVIER et FÉVRIER 2017
Parce que l’eau est un combat permanent, nous invitons Philippe Tepasso, un sourcier français, pour trouver d’éventuels filons d’eau souterraine dans la vallée de Dittilou. En 4 ans, les habitants de la vallée ont creusé, un peu au hasard, 5 puits : un seul a donné un bon résultat ! Des sites sont repérés à Dougoum, à Maddala et à Guihimbi.
Le PROJET « UNE ENSEIGNANTE ITINÉRANTE »
JANVIER – MAI 2017
Les femmes de Dougoum souhaitaient pouvoir apprendre à lire et à écrire sur une période plus longue. Les femmes de Guihimbi étaient aussi désireuses de participer à cette formation. Céline Weber a passé quatre mois, seule européenne dans ces 2 villages, a enseigner la lecture, l’écriture et le calcul auprès des adultes. Elle a aussi travaillé auprès des enfants.
LE PROJET « POULAILLER »
FÉVRIER 2017
Apprenant l’existence d’un élevage de poules à Randa, nous construisons un poulailler dans lequel nous mettons 5 poules pondeuses. Un vrai succès qui va servir d’exemple pour l’installation d’un poulailler dans chaque famille. Pour rappel : les oeufs sont un apport très intéressant de protéines.
LE PROJET « CANALISATION SANITAIRE »
FÉVRIER 2017
Nous proposons aux habitants du village de collecter les eaux usées et de les diriger vers le jardin en enfouissant des tuyaux en PVC.
LE PROJET « FORMATION AU FROMAGE »
FÉVRIER 2016
Pour poursuivre un travail commencé en 2015, nous apportons au village de la présure et des faisselles. Nous formons quelques habitants de Dougoum à la fabrication de fromage. Avec l’aide de la F.A.O. ils forment eux-mêmes une vingtaine d’habitants de plusieurs villages de diverses zones agropastorales.
LE PROJET « CHÈVRES LAITIÈRES »
JANVIER 2016
Avec l’aide de la FAO, nous étudions la possibilité de créer un petit troupeau de chèvres laitières, nourries au fourrage qui poussera dans notre grand jardin, afin de développer la production de lait à partir duquel les habitants pourront faire un excellent fromage de chèvre frais.
LE PROJET « DOUCHES SOLAIRES »
FÉVRIER 2016
Quelle joie pour ces enfants qui découvrent le plaisir d’une bonne douche d’eau chaude ! Un pas en avant vers une meilleure hygiène.
LE PROJET « FRIGO SOLAIRE »
JANVIER 2016
Pour pouvoir conserver à la fois les médicaments et les fromages frais, nous avons installé trois panneaux solaires, deux batteries, un transformateur et un réfrigérateur.
LE PROJET « CENTRE ARTISANAL »
JANVIER 2016
Nous participons à la conception et au financement d’un centre artisanal. Ce bâtiment rassemble la production des femmes du village. Les touristes n’ont plus qu’à choisir…
LE GRAND JARDIN
FÉVRIER 2015
Le grand jardin a vocation de produire du fourrage pour les chèvres. Nous le développerons quand l’eau sera plus abondante au village. Nous devons trouver des fournisseurs de « sudangrass », une plante fourragère adaptée à ce climat. Puis, il faudra créer des greniers à fourrage. Pour en améliorer la production, nous devrons acheter des filets pare-soleil.
LE PROJET ‘PUITS BOUYA »
JANVIER 2015
Creuser un premier trou de 9 mètres avec une dizaine d’hommes, puis en creuser un autre de 6 mètres et, soudain, voir couler un abondant filet d’eau : le bonheur !
LE PROJET « ADDUCTION ENTERRÉE »
JANVIER 2015
Pour joindre le puits et le village, il a fallu creuser une tranchée de 1 km sur 50 cm de profondeur, y déposer une conduite d’eau en PVC et reboucher le tout !
LE PROJET « GRANDE CITERNE »
JANVIER 2015
Jusqu’à 24 ouvriers ont été nécessaires pour édifier cette citerne de 32 m3 et pour la relier à une fontaine.
LE PROJET « PHARMACIE ET INFIRMERIE »
JANVIER 2014
Créer une infirmerie et compléter le stock de médicaments en renouant les liens avec l’hôpital de Tadjourah sont deux actions prioritaires de chaque année.
LE PROJET « COMPTES BANCAIRES »
FÉVRIER 2014
En 2014 et en 2015, nous ouvrons des comptes bancaires à 18 femmes du village. Maintenant, grâce à l’école, elles savent signer et lire les documents bancaires.
LE PROJET « CENTRALE ÉLECTRIQUE »
JANVIER 2014
Pour pouvoir recharger leurs téléphones, les tablettes ou les ordinateurs des visiteurs, il était important de créer une petite centrale électrique solaire.
LE PROJET « ÉQUIPEMENT EN MATÉRIEL »
FÉVRIER 2014
Nous avons acheté les outils nécessaires aux divers travaux dans le village (bricolage, jardinage, apiculture, menuiserie…)
FÉVRIER 2014
Apporter les graines et enseigner les techniques pour produire des tomates, des courgettes, des melons, des pastèques…
LE PROJET « GRAND SERVICE »
FÉVRIER 2014
Nous achetons un grand service de plus de 200 pièces (couverts, verres, marmites, plats … C’est nécessaire pour chaque mariage, pour chaque enterrement, pour les fêtes etc… Jusqu’à présent, ils devaient les louer !
LE PROJET « FOUR SOLAIRE »
FÉVRIER 2014
Nous fournissons à une famille un four solaire pour en vérifier la nécessité et l’utilisation. Problème : le soleil n’est pas souvent présent en hiver. Et ce matériel s’avère trop fragile !
LE PROJET « TROU À ORDURES »
FÉVRIER 2014
Puisqu’il n’existe aucun ramassage des ordures dans la région, les habitants de Dougoum acceptent de ramasser tous les déchets et de les rassembler dans un grand trou.
LE PROJET « TERRAIN DE FOOT »
FÉVRIER 2014
Tout le village est occupé par de grosses pierres qui rendent la marche malaisée. Nous décidons de tracer et de nettoyer un terrain de jeux qui servira aussi de lieu de réunion et de fêtes.
LE PROJET « RÉPARATION DE LA VOITURE »
FÉVRIER 2014
Réparation de l’unique voiture du village grâce aux dons ( 1000 €), collectés par l’intermédiaire de ULULE, pour l’achat des pneus, la réparation du système de freinage, des suspensions et de l’ensemble des circuits (électrique, eau, huile).
LE PROJET « PARC ARBORÉ »
FÉVRIER 2014
Nous avons acheté une cinquantaine d’arbustes, d’essences locales, pour apporter un peu de fraicheur au village. Et nous avons financé leur entretien par les femmes de Dougoum.
LE PROJET « INFIRMIERS À DOUGOUM »
JANVIER 2014
Avec Marie-Luce et Marc, infirmiers à La Rochelle, nous faisons un bilan santé des enfants et des femmes du village. Nous proposons une information pour l’amélioration de l’hygiène et de l’alimentation, nous apportons les soins de première nécessité et nous expliquons la politique du Ministère de la promotion de la Femme en matière d’excision, de contraception et de maladie.
LE PROJET « BÂCHES DE TOITURE »
A partir de 2013…
Pour que les familles puissent passer l’hiver au sec, pour éviter rhumes et bronchites, nous avons équipé chaque case d’une bâche plastifiée, comme dans les autres villages.
LE PROJET « LAMPES SOLAIRES »
A partir de 2013…
Nous veillons à équiper chaque famille d’une lampe solaire. Cet équipement leur permet de pouvoir continuer à vivre normalement après 18h30 (coucher du soleil) et à éviter la pollution par les piles électriques.
LE PROJET « GRAND RUCHER »
FÉVRIER 2013
Après avoir équipé les ruches de cadres et de cire, nous créons un grand rucher, tourné vers l’Est, sur une colline dominant le village. Créer des plateformes, un enclos de branches pour le délimiter, un chemin d’accès, tout cela prend beaucoup de temps et d’énergie. Pour finir, nous finançons un gardien.
LE PROJET « COOPÉRATIVE »
JANVIER 2013
David fait construire une case où nous rassemblerons tout le matériel que nous avons acheté ou acquis pour le village.
LE PROJET « VILLAGE PROPRE »
JANVIER 2013
Sous l’impulsion de David, avec l’aide des enfants, nous invitons les Dougoumois à créer des rues dans le village en nettoyant le terrain des plastiques et des pierres qui les encombrent.
LE PROJET « GRAINES POUR DOUGOUM »
JANVIER 2013
Nous apportons des graines de légumes –betteraves, choux, piments, tomates- pour les 16 enclos familiaux. Nous apprenons aux habitants de Dougoum à créer de mini-jardins avec l’aide d’Houmed Ibrahim.
LE PROJET « ÉCOLE »
JANVIER 2013
David a fait construire une case-école. Nous travaillons auprès des habitants qui veulent apprendre À LIRE, À ÉCRIRE, À COMPTER, mais aussi pour qu’elles abandonnent certaines pratiques dangereuses ou négatives : l’excision, l’enfumage des bébés, certaines superstitions, …
LE PROJET « RESTAURATION DE LA VIEILLE MOSQUÉE »
JUIN 2012
Yacine et ses coreligionnaires financent la restauration de la vieille mosquée. Yacine a fait les plans, a choisi le matériel et a suivi une bonne part des travaux.
LA CRÉATION DE DEUX ASSOCIATIONS
MARS 2012
Nous créons l’association française des Abeilles de Dougoum. Mais, pour pouvoir travailler à Dougoum, nous créons aussi l’association djiboutienne des Habitants de Dougoum
dont DAVID SERA LE PRÉSIDENT.
LE PROJET « COLIS POUR DOUGOUM »
A partir de 2012…
Chaque mois, nous remettons des colis envoyés par des Français: chaussures, vêtements, matériel scolaire, alimentation, jouets, bijoux…
LE PROJET « FORMATION À L’APICULTURE »
FÉVRIER 2012
Parce qu’ils ont une vingtaine de ruches et qu’ils ne savent pas s’en servir, les habitants de Dougoum souhaitent recevoir une formation. Nous achetons du matériel en France et faisons cette initiation à 5 apprentis apiculteurs.
Après avoir passé l’année scolaire 1978-1979 comme enseignants
au collège Charles de Foucault,
nous revenons en janvier 2012
pour assurer un remplacement à La Nativité.
C’est là que Yacine nous parle de DOUGOUM…