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Infos de mai 24

Emmanuelle est la maman de Camille. Lors d’un bref séjour à Djibouti, elle est passée au village pour porter de nouveaux colis pour les femmes et les enfants. Elle a distribué également les petites sommes que nos donateurs français envoient chaque mois aux familles les plus démunies.

Ingrid et Qacha

Avec sa soeur Ingrid, elles ont rendu visite à Qacha, l’infirmière du village. Elles ont pris cette photo à l’école des plus jeunes.

À Dougoum, il y a le jardin communautaire. Il est généralement cultivé par des ouvriers éthiopiens de passage.

AVANT

APRÈS

L’idée serait de créer de nouveaux jardin familiaux, pas trop loin du forage. Dans chaque jardin habiterait une famille. Et chaque jardinier pourrait vivre de ses ventes, tout en versant un loyer mensuel à la Caisse des Femmes. Pour commencer et pendant la première année, un donateur français lui verserait une allocation d’installation.

Plat unique

Comme partout ailleurs, le repas est un moment essentiel. On y parle, on y fait des projets. Mais ici, en général, les femmes en sont exclues. Le service est fait par les hommes.

Vincent, Petit Dodo et Mandaytu

Au menu, et presque invariablement, on y mange du riz ou des pâtes, avec une sauce à la tomate. Point final ! Pas de dessert, sauf si l’invité le mérite… Les jours de fête, le menu s’agrémente de chevreau et de galettes pour accompagner le café.

Vous pouvez nous aider

Pour répondre à plusieurs de vos demandes, les élèves de Dougoum ont toujours besoin de petit matériel scolaire (crayons, gommes, cahiers…). L’infirmière est toujours intéressée par les médicaments de base. Vous pouvez aussi soutenir une famille précise. Enfin les versements de dons à l’Association des Femmes-Abeilles sont toujours possibles et souhaités.

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